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Aladdin ou la lampe merveilleuse

pour chœur d'enfants et ensemble instrumental

  • 2007

  • 1h

  • Ensemble instrumental : clarinette, quatuor à cordes, percussions, harpe, piano

 

 

Aladdin ou la lampe merveilleuse.jpg

Aladdin ou la lampe merveilleuse est un opéra en trois actes qui s'inspire du célèbre conte du même nom.

Il existe une version opéra pour chœur d'enfants et ensemble instrumental ainsi qu'une version pour récitant et ensemble instrumental.

Acte 1 :

Dans une demeure misérable, la mère d’Aladdin souffre de la désobéissance et de la paresse de son fils. Aladdin, dissimulé pendant cette plainte, est dépité par l’image déplorable que sa mère a de lui. Celle-ci partie, le magicien Chirkouh survient brusquement. Il a tout entendu et tente d’amadouer le jeune et naïf Aladdin afin qu’il lui rapporte le trésor qu’il convoite depuis toujours : une lampe magique cachée dans une sombre grotte. Aladdin prend pitié du vieillard et accepte. Une fois dans la grotte, il fait la connaissance des Djinns, les esprits protecteurs de la lampe, qui lui conseillent de garder la lampe et de ne jamais la donner à un homme au cœur mauvais. Aladdin obéit aux Djinns et refuse de donner l’objet à Chirkouh. Furieux, le magicien profère une malédiction et enferme le jeune homme dans cette terrible grotte. Aladdin prisonnier commence par pleurer sur son sort mais, conseillé par les djinns, il frotte la lampe et soudain apparaît le Génie ! Ce dernier, par sa magie, lui rend sa liberté.

Acte 2 :

Aladdin, complètement survolté, s’empresse de raconter ses aventures exceptionnelles à sa mère. Très en colère, épuisée par ses caprices, elle refuse de l’écouter, obligeant son fils à invoquer le Génie pour la convaincre. Aladdin fait cette fois le vœu de couvrir sa mère de richesses. Celle-ci demande alors pardon à son fils et lui donne la permission d’aller au souk rejoindre ses amis. Après un petit temps de jeu, Aladdin et ses amis sont contraints par les gardes royaux de quitter la Grand-Place car le cortège de la Princesse Djamilah, fille du Sultan, est sur le point de pénétrer sur les lieux. Aladdin, bien caché, parvient tout de même à apercevoir Djamilah, dont il tombe immédiatement amoureux. Il retourne chez lui et annonce à sa mère qu’il veut épouser la fille du Sultan. Affolée par les propos insensés de son fils, la mère tente de le raisonner, lui rappelant qu’un fils de tailleur ne peut épouser une princesse, surtout quand elle est promise à Radouane le Grand Vizir. Cependant Aladdin invoque une fois de plus le Génie qui le transforme en prince afin de conquérir la belle Djamilah.

Acte 3 :

Pendant ce temps au Palais, Djamilah demande à s’entretenir avec son père, le Sultan. Elle le supplie de ne pas la marier à Radouane, le Grand-Vizir qu’elle méprise. Le Sultan entre dans une colère noire. Sans pitié, il exige que les règles soient dûment respectées. Djamilah sombre dans le désespoir, alors que le Grand Vizir s’introduit dans les appartements de sa future épouse qu’il tente vainement de séduire. Soudainement, comme dans un rêve, Prince Aladdin et sa suite se présentent au palais pour demander la main de Djamilah au Sultan. Débute alors l’inspection des trésors et richesses du nouveau prétendant. Prince Aladdin l’emporte au détriment de Radouane et obtient la main de la princesse. Mariage et bacchanale concluront cette merveilleuse aventure.

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